Panajachel
DÉCOUVREZ LA CULTURE MAYA AUTOUR DU LAC ATITLAN
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Situé à dans le département de Sololá, à 6 km à peine de la ville du même nom et un peu plus de 145 km de Guatemala City, Panajachel est un joyau à découvrir à tout prix. Elle se trouve à 1597 km d’altitude, non loin du lac Atitlán. Quasi-inconnue, il y a de cela deux décennies à peine, cette petite ville tend à devenir une des plaques tournantes touristiques de la région, et le moins que l’on puisse dire est qu’elle a tout pour plaire.
Histoire de Panajachel
Panajachel est un mot de la langue Kaqchikel qui se traduit littéralement comme, “lieu des roseaux et des guérisseurs”. Appellation très logique vu que les deux s’y trouvaient en abondance. Au 16 siècle, cette zone fut le théâtre de combats violents entre les Tz'utujils et une alliance formée par les Espagnols et les Kaqchikel. Après la victoire de ces derniers, les franciscains s'installèrent dans la région pour consolider leurs positions, en convertissant les autochtones. La ville fut rebaptisée en San Francisco Panahachel.
À cette époque, Panajachel est une ville dans laquelle résident principalement les moines franciscains et les fidèles. La première église voit le jour en 1597. La présence des religieux contribua au développement de la ville et au 18e siècle. En fait, c’est toute la région qui fut transformée en centre religieux. On y trouvait plus d’une vingtaine de couvents. La concentration des sites religieux était tellement immense que la région était surnommée "Provincia del Santísimo Nombre de Jesús" (La "Province du Saint Nom de Jésus"). La ville, quant à elle, avait une population de près de 2000 habitants.
Panajachel, à la fin du 19e siècle, était une ville très développée et particulièrement populaire du point de vue touristique. Parmi les touristes célèbres de l’époque, on citera l'archéologue Alfred Percival Maudslay avec Anne, son épouse. Malheureusement, la situation géographique de Panajachel, qui faisait son charme, était parallèlement son talon d’Achille. La ville fut frappée par de nombreuses inondations graves qui finirent par réduire à néant l’intérêt des voyageurs.
Le regain d’intérêt pour cette ville ne réapparaît que dans les années 60 grâce aux hippies, mais il est très faible. Ils s’y rendront pendant quelques années, puis viendra le tour des motards qui apprécient à sa juste valeur la splendeur des lieux. Mais la ville n’est pas encore envahie par un tourisme de masse. Il faudra attendre le début du 21e siècle pour observer un véritable changement. Et à ce jour, tout laisse à croire qu’il n’est pas sur le point de s'éteindre.
Présentation de Panajachel
L’un des atouts de Panajachel est son emplacement géographique. La ville est située à 34 km du lac Attican, non loin de la montagne Cerro de Oro et des volcans San Pedro, Tolimán et Atitlán. Mieux encore, elle se trouve à près de 1600 m d'altitude, ce qui offre une vue imprenable sur la nature environnante. À première vue, Panajachel est une ville typique pour la région. Bon nombre de petites villes d'Amérique Latine ont conservé de nombreux vestiges de leur passé colonial, ainsi que ceux des glorieuses civilisations amérindiennes précolombiennes. C’est ce mélange hétéroclite et haut en couleur qui fait la beauté de nombreuses villes d'Amérique du Sud, et Panajachel n’est pas une exception à la règle.
Elle possède toutefois des traits qui la différencient des autres. Après son déclin au 19e siècle, elle est restée pendant longtemps à l’abri des touristes. Cela lui a permis non seulement de préserver dans un état presque initial une bonne partie de son patrimoine, mais aussi ses traditions. Les populations locales vivaient - et vivent encore en partie - de la pêche et l’agriculture. Même après le boom touristique récent, les populations indigènes restent attachées à leurs traditions. Il s’agit donc d’un site authentique qui séduira tant ceux qui font du tourisme familial, que ceux qui préfèrent un tourisme plus écologique.
On évoquait un peu plus haut l’emplacement géographique comme l’un des points forts de cette ville. Cela touche tant les trésors naturels qui l’entourent que la situation par rapport à d’autres villes et villages intéressants de la région. Sur la liste des villes et villages qui valent le détour dans les environs, on citera : Sololà (le chef-lieu du département, San Pablo La laguna, San Juan La Laguna, Santiago Atitlán, San Lucas Tolimán, Santa Catalina ou encore San Pablo La Laguna. Panajachel est à la croisée des chemins et inutile de dire qu’on gagne tout à découvrir cette ville.
Pourquoi visiter Panajachel ?
Guatemala, Honduras, Chili, Mexico, Pérou, Honduras, toute l'Amérique centrale et l'Amérique latine possèdent un charme qu’on ne trouve plus nul part ailleurs. Chacune des villes est unique, même si quelque part, on trouve toujours des points communs. Alors pourquoi Panajachel et pas une autre ? Il convient probablement de commencer par l’architecture grandiose. D’une part, les vestiges coloniaux, d’autre part, les ruines de l’époque précolombienne.
Église San Francisco de Asis de Panajachel
Le premier site à visiter est l'église principale de Panajachel. Magnifique exemple d'architecture coloniale, cette église fut construite au 16e siècle, plus précisément en 1597, en même temps qu’un couvent. Le bâtiment actuel ne date pas du 16e siècle, seule la façade est originale. Par ailleurs, le couvent d’origine n’existe plus. Il n'empêche que la façade de ce chef-d’oeuvre religieux colonial est réputé pour être, non seulement l’une des plus belles de la région, mais aussi du pays. Elle est restée intacte et on ne saurait rester indifférent devant ces superbes gravures dont elle est recouverte. Ne vous limitez surtout pas qu'à photographier l'extérieur. Dans la mesure du possible, visitez aussi l’intérieur du bâtiment.
Le marché municipal de Panajachel
Les vêtements traditionnels et bariolés ! C’est la première chose à laquelle tout touriste prêtera attention une fois au marché. Les hupils (chemisiers) et cortes (jupes) des femmes sont absolument magnifiques, tout comme les vêtements traditionnels des hommes. Difficile de trouver meilleur endroit pour sentir le pouls de la ville. En dehors des multiples produits frais, les touristes auront également la possibilité de découvrir l’artisanat local. Des objets d’art aux bijoux traditionnels, on y trouve un peu de tout.
Le marché abrite également quelques cafés et restaurants. Si vous pensez pouvoir n’y déguster que les plats traditionnels locaux, vous gagnez à réfléchir. La ville a séduit de nombreux expatriés qui ont décidé de s’y installer. Vous n’y trouverez pas le meilleur restaurant français d'Amérique du Sud, mais l'éventail gastronomique est assez large. Ceux qui effectuent un voyage en famille apprécieront à coup sûr ce petit détail. Enfants et parents y trouveront leur compte. Il se trouve au centre-ville et vous pouvez vous y rendre en tuc-tuc, mais rien ne vaut une balade à pied à travers les rues et ruelles de la ville.
Rue Santander
Envie de passer du bon temps ? Bienvenue au paradis. La rue Santander abrite de nombreux commerces, mais aussi une pléiade de restaurants bars et cafés, qui restent ouverts bien après que les petits établissements du marché municipal aient fermé leurs portes. La Rue Santander est synonyme de fête, joie et bonheur permanent. Fatigués de flâner dans les bars du coin, promenez-vous jusqu’au port de Panajachel, surtout dans la soirée. Vous adorerez le magnifique coucher de soleil. À ne manquer sous aucun prétexte !
Galería Panajachel
Nul besoin de se rendre au bout du monde pour boire et manger en permanence, voilà pourquoi vous gagnez à visiter des sites comme celui-ci. Il s’agit simplement de la Galerie d’art de la ville. Tout comme les restaurants et bars, vous auriez tort de sous-estimer à l’avance la qualité des œuvres qu’elle abrite. Comme mentionné un peu plus haut, Panajachel est une ville assez cosmopolite dans laquelle résident également de nombreux artistes étrangers.
Par conséquent, en plus des artistes locaux, vous aurez également le plaisir d’apprécier les chefs-d’œuvre des artistes autrichiens, français, anglais ou américains pour ne citer que ceux-là. Elle expose principalement des peintures, mais on y trouve parfois d'autres formes d’art (photographie, gravure et sculpture). À noter qu’il s’agit de l’une des galeries les plus anciennes de l’Amérique Centrale en général.
Le lac Atitlan
Lorsqu’un lac a la réputation d’être l'un des plus beaux au monde, il est presque blasphématoire de se rendre sur les lieux et ne pas le voir. Le lac Atitlan est une merveille naturelle qui attire chaque année des milliers de touristes. Il est entouré de nombreux volcans dont les pans sont recouverts de forêt tropicale. Un vrai bonheur pour les adeptes d'écotourisme. Vous pouvez choisir de découvrir le site depuis les hauteurs lors d’une randonnée, en voiture (tout au moins jusqu’aux rives) ou par voie maritime en empruntant un des multiples lanchas (taxis maritimes). Ces transports locaux vous feront découvrir le lac sous toutes ses facettes.
Pas vraiment adepte de balades tranquilles ? Dans ce cas, laissez-vous tenter par une balade en kayak ou offrez vous simplement le plaisir de nager dans ces eaux magnifiques. Il faut dire que ce site a souffert de la pollution provoquée par le tourisme intensif. Fort heureusement, les pouvoirs publics ont pris des mesures et le lac retrouve petit à petit la pureté cristalline qui a fait sa réputation.
Il n’y a pas que le lac et la nature environnante qui valent le détour. Une communauté hors du commun s’est installée sur les rives du lac. Il s’agit de centres historiques et groupes religieux. C’est une expérience absolument unique qui vaut le détour. Les cérémonies religieuses étranges, mais très joyeuses auxquelles vous assisterez resteront à jamais gravées dans votre esprit.
Reserva Natural Atitlán
C’est le jardin de papillons qui se trouve dans les environs du lac. Il s’agit d’un immense dôme qui abrite une douzaine d’espèces de papillons. Certaines de ces espèces ne peuvent pas vivre ailleurs. Il s’agit notamment des Morphos, ainsi que des Héraclides. Au total, ce sont environ un millier de papillons qui vivent dans ce refuge. Ce jardin se vante à raison d’être une “oasis de biodiversité”
La liste est loin d'être complète, mais vous pouvez la compléter en vous lançant à la découverte des environs tout seul. Il serait dommage de se rendre en Amérique Centrale pour passer tout son séjour affalé sur une chaise longue à la “playa”.
Ruines mayas d’Iximche
O bonheur, o volupté ! Même si l’architecture et l'archéologie vous laissent généralement de marbre, vous ne pourrez ne pas vous extasier devant ces ruines. Elles sont superbes et plutôt bien conservées. Ce site a été construit pendant près de 1000 ans et soit dit en passant, les autochtones y pratiquent toujours leurs rites.
Les Ruines d’Iximche, ce sont quelques palais, plusieurs temples-pyramides et des terrains de jeu de balle mésoaméricains. Le tout est perché à une altitude qui offre une vue de la nature environnante à couper le souffle. La visite des lieux est obligatoire, ne fût-ce que pour se délecter du paysage. Ces vestiges se trouvent à Chimaltenango, c’est à une cinquantaine de kilomètres de Panajachel. Allez-y en voiture ou prenez un bus.
Casa Cakchiquel
On ne se rend pas à la Casa Cakchiquel pour toucher l’histoire du bout des doigts, quoique, pourquoi pas. Il s’agit mine de rien du plus vieil hôtel de la ville. Construit en 1948, cet hôtel (qui n’en est actuellement plus un) a hébergé à une époque des célébrités comme Ingrid Bergman ou encore le Che lui-même. De nos jours, il sert en même temps de siège social à la radio locale (Radio 5 FM 99,1), de centre culturel, de musée et galerie où se déroule l’exposition du travail de nombreux photographes célèbres tels que Joaquín Muñoz, Roberto et Emilio Eichenberger, Pablo Sittler, Alberto G. Valdeavellano, Lionel Stein, Adolfo Biener et bien d’autres. Le jardin abrite le restaurant japonais du coin, Restaurante Hana, qui est réputé pour être l’un des meilleurs de la ville.
Quels villages visiter autour du lac Atitlan ?
Il est très difficile de donner une réponse tranchée à cette question, car la seule chose que ces villages partagent en commun est leur emplacement géographique. Chacun d’entre eux possède sa propre individualité
San Pedro La Laguna
Si vous vous sentez une âme de fêtard perpétuel, vous y serez comme à la maison. La pléiade de discothèques, bars et restaurants qui s’y trouvent vous mettront en extase. Il faut dire que c’est aussi le lieu par excellence pour rencontrer d’autres expatriés. En fait, bon nombre d’hostels et bars qui s’y trouvent appartiennent à des étrangers. Il y a donc peu de chance que vous vous sentiez dépaysés.
On vous recommandera de vous y rendre en bateau. Il est possible d’y aller en voiture, mais le détour à faire est tellement grand qu’il n’a d'intérêt que si vous souhaitez admirer le paysage environnant. En dehors des multiples bars et cafés ou du lac Atitlan, pensez aussi à vous rendre à la Cara del Maya.
Il s’agit de formations rocheuses admirables dont la forme rappelle un individu allongé. Ce village se trouve au pied du volcan San Pedro et une randonnée pédestre dans le coin vous fera le plus grand bien.
San Cruz La Laguna
À la recherche d’un coin tranquille pour se détendre et se ressourcer ? Inutile d’aller plus loin, c’est un village entouré de nature luxuriante où le temps semble bien s’être arrêté. Au programme : méditation et relaxation. La population locale propose de nombreux produits de beauté bio. Par ailleurs, ce sera aussi une chance de découvrir le fameux temazcal, le sauna traditionnel maya. Certains hôtels et pensions vont plus loin en vous offrant des massages au bol tibétain, des massages suédois, des séances de yoga ou encore l’initiation aux plantes médicinales. Si le terme voyage est synonyme de farniente, vous la tenez la destination par excellence.
San Marco La Laguna
Adeptes d'ésotérisme, de yoga ou d'écotourisme, mettez un terme à vos quêtes. En arrivant dans ce village, considérez que vous avez déniché la perle rare que vous cherchiez depuis si longtemps. C’est le centre des touristes à l'âme hippie, qu’ils effectuent un voyage en groupe ou solitaire.
Santa Catarina Palopó
Idéal pour les explorateurs. On se rend dans ce village pour admirer les traditions locales et la découverte commence par les vêtements autochtones. Les pantalons brodés de la gent masculine ou les tenues turquoises de la gent féminine ne laissent pas indifférent. Le village est très facile d’accès depuis le lac Atitlan, tout comme le village voisin : San Antonio Palopo.
Outre les costumes traditionnels de la population, pensez aussi à vous rendre à l’église du village qui se trouve à la place centrale. Si vous vous trouvez dans la région en fin novembre, ne manquez pas d’assister aux cérémonies religieuses qui se tiennent le 25 du mois en l’honneur de la Sainte patronne du village : Santa Catalina de Alejandria. Sensations inoubliables garanties !
San Antonio Palopó
Profitez de votre passage dans le village pour acheter des objets d’art traditionnels : céramiques, vêtements, ceintures, nappes et bien d'autres articles artisanaux, vous aideront à garder le souvenir de cette région paradisiaque. Votre achat aidera par ailleurs la communauté à survivre et conserver ses traditions. Pendant que vous y êtes, faites aussi un tour au centre archéologique de Panimaquin.
San Lucas Tolimán
Le meilleur moyen de passer ses vacances est parfois d’éviter autant que possible les foules de touristes, sortir des sentiers battus. Situé à 35 km de Panajachel, ce petit village n’est pas particulièrement populaire auprès des touristes et à tort. Il possède encore plus de trésors que la majorité des villages environnants. Hormis son marché attrayant, sa magnifique église coloniale et les articles artisanaux vendus (on recommandera principalement les broderies - offrez-vous éventuellement un costume traditionnel), il y a également la nature. Ce village se trouve au pied de deux volcans : Atitlán et Tolimán. Un rêve pour les adeptes de randonnée et trekking, qui seront sous le charme de la végétation luxuriante.
Santiago Atitlán
Si vous manquez de faire un tour dans ce village, considérez qu’une partie de vos vacances sera perdue, qu’il s’agisse d’un voyage en famille, entre amis ou même d’un voyage solitaire. C’est le coin le plus populaire de la région et à raison. Le village possède plusieurs atouts, parmi lesquels on citera la gastronomie, l’immense marché, le site archéologique de Pacaman, de même que les sites archéologiques de Cerro de oro, Chukmuk., Patzilin, Chuitinamit et Tzanchali ou encore le volcan San Pedro. Mais le clou de la visite sera d’assister à une des cérémonies religieuses dédiées à Maximón.
Maximón est un personnage hors du commun. Avec ses lunettes de soleil, son chapeau de paille et ces santiags, cette figurine ressemble à tout, sauf un saint ou mieux encore une divinité. C’est pourtant le statut qu’il occupe. On lui offre régulièrement de l’argent, de l’alcool et des fleurs. Les croyants n’oublient pas également de lui allumer sa cigarette. La légende veut que Maximón soit à la fois une divinité protectrice, mais également un bon coureur de jupon. Aussi hilares que peuvent paraître les rites dédiés à cette divinité bon vivant, ne vous avisez surtout pas de rire ou de ne pas les prendre au sérieux. La population locale n’appréciera pas.
Sur la liste des villes et villages à visiter, on mentionnera aussi le chef-lieu Sololá, San Juan La Laguna (avec ses miradors et son sanctuaire dédié à Maximón.) Zunil ou encore San Andrés Xecul. Ce dernier vaut le détour, ne fût-ce que pour admirer la façade de son église. Elle est de couleur jaune safran, décorée avec des gravures et dessins admirables.
Panajachel : conseils pratiques
La préparation est à la base de tout beau voyage. Programmez toutes les étapes du déplacement, même s’il s’agit d’un voyage aventure. Les tours opérateurs sont nombreux, mais vous gagnerez à opter pour un spécialiste dont la réputation n'est plus à faire. N'ayez pas peur de programmer votre voyage en ligne. Très souvent, les offres des agences virtuelles sont de loin plus alléchantes.
Pour des voyages en groupe, surtout entre amis, vous pouvez repartir les taches. Contactez une agence locale pour obtenir un maximum d’informations sur les conditions de vie, l’alimentation, le logement, etc. Programmez aussi à l’avance une bonne partie des activités que vous entendez pratiquer. Certaines données concernant, par exemple,
les activités disponibles durant la saison des pluies peuvent vous être utile si vous n'avez pas la possibilité de vous déplacer avant.
Avoir le goût de l’aventure ne signifie pas pour autant adopter un comportement irresponsable. Si vous ne parlez pas la langue locale et que vous n’avez aucune intention de passer le clair de votre temps à l’hôtel, engagez un guide local. Les autochtones peuvent être très aimables, mais il n'est pas exclu que vous manquiez de respect à leurs traditions, par simple ignorance. Inutile de se trouver dans une situation complexe que l’on peut éviter. Le guide accompagnateur ne se contentera pas de vous faire découvrir la région et admirer son patrimoine, il vous aidera aussi à éviter des faux-pas.
Sur la liste des conseils aux voyageurs, on ajoutera un autre point important auquel peu de personnes pensent : le rapatriement. Personne ne va en vacances pour se faire rapatrier, mais tout est possible. Prenez donc vos dispositions et assurez-vous de détenir une assurance qui couvre tous les frais.
Panajachel : conclusion
Pour un voyage de noces, un voyage en famille ou même un voyage de luxe, un périple dans la région de Panajachel est la destination parfaite. C’est une ville à l’histoire riche qui ravira tant les amateurs de voyages culturels que ceux qui préfèrent des voyages écologiques. Les paysages grandioses de Panajachel et sa région, les sites archéologiques, les vestiges de l’architecture coloniale et bien entendu le lac Atitlan, à croire que tous les plus beaux sites du continent se trouve dans cette région. N’ayez pas peur de partir en voyage et découvrir Panajachel, vous apprécierez.